Inférences - Prise d'indices et lecture implicite
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Prenez le temps de lire attentivement chacun des petits textes proposés.Puis, lorsque vous penserez l'avoir bien compris, cliquez pour voir la(les) question(s) qui vous est(sont) posée(s).Répondez-y précisément en prenant le temps de rédiger une ou plusieurs phrases correctes. Enfin, vous soulignerez, dans le texte, tous les indices qui vous ont permis de répondre à la question posée.


Quand M. Marcel entra dans le poulailler, des plumes volaient encore. Mais du voleur, pas une trace !
« Ah, je t’aurai un jour, coquin ! Et ce jour-là, prends garde à ta queue rousse ! »
Les premières primevères apparaissaient dans les prés, et les montagnes perdaient leur manteau de neige. Pour Charlotte, c’était le signe qu’il était temps de sortir de son terrier, après ces longs mois de sommeil.
Il ne restait plus que quelques kilomètres à parcourir. Marc enchaînait les courbes et les chicanes avec habileté, accélérant au maximum en espérant que son moteur n’allait pas lâcher.
Il prit l’énorme trousseau qui pendait à sa ceinture, choisit une petite clé rouillée et ouvrit le verrou. Dans la cellule, l’homme dormait, la tête tournée vers le mur.
Fanny fit signe à l’automobiliste de s’arrêter le long du trottoir. « Monsieur, vous rouliez beaucoup trop vite ! Sortez les papiers du véhicule et votre permis de conduire, s’il vous plaît ! »
Le monstre assourdissant s’éloigna vers le fond du jardin. « Ouf, pensa la petite coccinelle, je suis sauvée… Oh non, le revoici, il va me couper en mille morceaux ! Vite, cachons-nous ! » Mais où trouver une cachette au milieu de cette pelouse ?
On entendit un bruit de chaînes, et l’on vit une ombre blanche traverser la cour du château. La marquise s’évanouit aussitôt.
Noémie ferma les yeux et serra les dents. Le wagon se mit à descendre à toute allure, enchaîna virage sur virage, remonta encore, dévala à nouveau les rails à une vitesse effrayante avant de s’immobiliser enfin. Noémie, avec un soupir de soulagement, rejoignit sa maman qui lui dit :
« Eh bien, ma chérie, ça n’a pas l’air d’aller, tu es toute pâle ! »
Pendant que je montais sur scène pour recevoir mon diplôme, mon père applaudit, les larmes aux yeux.
Avec le peigne dans une main et les ciseaux dans l’autre, Christian s’approcha du fauteuil.

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